En cette période de confinement, les organismes craignent une augmentation de signalements de maltraitance infantile et de violence conjugale.
« On se prépare pour une possible explosion de cas de violence conjugale et nous en sommes à mettre des protocoles en place en ce sens tout en mettant à jour les protocoles en lien avec la COVID-19 », déclare d’office Hélène Langevin, directrice générale à la Maison Simonne-Monet-Chartrand (SMC) qui accompagne les femmes et les mères victimes de violence conjugale.